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De 2012 à 2017, la quantité de chaleur renouvelable et de « récupération » livrée sur les réseaux de chaleur et de froid a progressé de 40 %, passant de 7,9 TWh à 11,2 TWh annuelle.
La Loi TEPCV a pour ambition de valoriser les réseaux de chaleur vertueux et d’accélérer leur développement. Elle a fixé un objectif de multiplication par 5 de la quantité de chaleur et de froid renouvelable et de récupération à horizon 2030, de manière à atteindre 39,5 TWh par an.
La Loi Climat et résilience du 22 août 2021, confirme cette intention. Elle instaure l’obligation, pour tout projet d’aménagement soumis à autorisation environnementale, de réaliser une étude de faisabilité sur le potentiel de développement en énergies renouvelables « et en particulier sur l’opportunité de la création ou du raccordement à un réseau de chaleur ou de froid ayant recours aux énergies renouvelables et de récupération ».
Pour atteindre l’objectif de croissance de la quantité de chaleur et de froid renouvelable et de récupération circulant sur les réseaux, un des leviers consiste à mieux identifier les gisements d’énergie et de chaleur fatales situés à proximité des réseaux de chaleur.
De quoi s’agit-il ? Qui sont les émetteurs possibles ? Quelles sont les températures des émissions ? Quelles sont les technologies disponibles pour valoriser les énergies fatales ?
Quels modèles économiques et quels montages contractuels pour valoriser les énergies fatales ? Quels retours d’expérience ?
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