“Réduire le délai de relocation de mes logements” : on parie que cela fait partie de vos bonnes résolutions 2024 ?
Raccourcir et optimiser le processus de relocation est, bien sûr, l’un des objectifs évidents des bailleurs : l’enjeu financier, lié à la vacance du logement et donc à la perte de loyer perçu, est prégnant.
Or, la remise en état d’un logement pour sa relocation est un processus par essence transversal :
« La relocation des logements est une activité majeure et transversale au cœur de la mission des organismes HLM. Elle implique plusieurs équipes métiers du bailleur social et de nombreux prestataires extérieurs (fournisseurs, diagnostiqueurs) »
Jacques WOLFROM, édito du Cahiers Repères USH n°125 “La remise en état des logements à la relocation : état des lieux et recommandations” (parution nov. 2023).
Votre processus de relocation est en effet constitué d’actions successives que mènent vos équipes techniques mais également d’étapes de commercialisation. Vous êtes donc susceptibles de rencontrer des problématiques extrêmement variées tout au long de ce cycle, depuis la réception du congé jusqu’à l’entrée dans les lieux du nouveau locataire.
Aussi, notre conviction est que, pour gagner en efficacité, vous devez tout d’abord analyser finement les difficultés rencontrées et les méthodes internes, afin de mettre ensuite en œuvre une série d’actions et de bonnes pratiques dans une logique d’amélioration continue.

Un processus à la croisée d’enjeux de natures différentes